Un candidat, une entreprise
Agir en artisan
A l’ère du tout numérique dont les algorithmes opaques invisibilisent les pépites, Anne Debieuvre travaille comme un artisan. Non parce qu’elle refuse la modernité, mais elle considère que les processus, les techniques et les outils ne valent que par le savoir-faire des professionnels qui les mobilisent avec pertinence.
Elle pratique son métier depuis 30 ans avec, pour centre de gravité, la relation humaine à la fois côté entreprise (les découvrir, les comprendre, en cerner la culture) et côté profils remarquables (les découvrir, les comprendre, en cerner la culture) pour in fine associer deux histoires.
Un recrutement réussi
Ce qu’Anne raconte
J’ai découvert ce métier lorsqu’ Internet et les réseaux sociaux n’existaient pas. J’ai donc appris ce qu’est véritablement la chasse de tête « dans le dur » : identification des sociétés, des candidats, construction des organigrammes, approche sélective des candidats, entretiens approfondis et analyse de la concurrence.
Lorsque les réseaux sociaux sont apparus, ils ont incontestablement facilité le travail d’identification des candidats et accéléré leur sélection, mais ce, au détriment, je le crains, d’une recherche exhaustive des candidats.
Et pourtant, comme me disait récemment un client : « On a tous des dictionnaires et on devrait tous être capables d’écrire comme Baudelaire. Or, ce n’est pas le cas ! «
La méthode d’Anne Debieuvre Conseil
Une éthique : un seul métier représenté par secteur.
Un moteur : une curiosité inlassable pour les êtres humains.
Une obsession : forger des mariages solides.
Un don : la compréhension fine des ruptures et des sinuosités.
Intuition
Curiosité
Empathie
Mémoire phénoménale
Secteurs d’orpaillage
- Agroalimentaire
- Ingénierie de l’eau
- Hôtellerie
- Chimie pharmaceutique
- Construction
Avec une particularité forte : Anne Debieuvre recrute pour les PME à capital familial qui ont des besoins particuliers nécessitant des candidats aux profils riches, autonomes avec un désir d’ancrage sur le long terme.
Ce qu’Anne croit
A 30 ans, je vous aurai assuré avec légèreté que je « sentais » ou non un candidat rapidement.
Aujourd’hui, après 30 ans de recherches et de rencontres, je suis certaine qu’il faut beaucoup de temps pour évaluer vraiment l’adéquation d’un candidat à un poste dans une entreprise familiale. Il ne faut pas baisser la garde sur sa propre intuition.
Quand on recrute pour des PME, la responsabilité est énorme. Ce sont des recrutements où le « clonage » de candidats interchangeables ou stéréotypés est exclu.
Parce que l’échec d’un recrutement coûte extrêmement cher aux entreprises familiales, il faut bannir toute approximation et savoir prendre le temps.
Recrutements effectués
Directeur industriel
Directeur général
Responsable R&D
